Visiblement, j’étais gênant. Les autres m’avaient mis à l’isolement et je me retrouverais dans la solitude, le tabou et l’incompréhension.
“Asocial” ! disaient-ils

Mis en minorité j’avais la trouille, je me murais dans le silence avec cette sensation d’abandon, de tristesse, victime de leur intolérance et de leur ostracisme.
Mis à l’écart, je me réfugiais dans la négation.